C’est bientôt le printemps…

alors il faut ranger les patchs d’hiver pour renouveler la décoration. 

Il reste un ouvrage à finir… les trois derniers blocs sont brodés.

Tout est prêt pour le mois de … juillet ! C’est le temps qu’il me faut pour inventer ma propre composition et puis si l’inspiration ne vient pas il y aura toujours celle du patron.

Pas (trop) de gâchis après le fussy cutting…

Le fussy cutting permet de placer un motif du tissu dans un bloc. Pour isoler le motif, j’utilise les gabarits transparents de Marti Michell. Je laisse le papier au dos le plus longtemps possible mais je le retire et remplace par de petites pastilles pour limiter les glissements lors de la coupe.

A la fin du projet, le tissu ressemble parfois à du gruyère. Ce n’est ni flatteur ni aisé à ranger. Alors j’ai récupéré tout ce que je pouvais : un grand carré de 25cm, quelques oiseaux mais aussi des pièces plus neutres. Tout est rangé dans une pochette. Ils trouveront bien une utilisation un jour.

L’étiquette , mais pas que…

 L’étiquette d’un quilt est souvent un détail que souvent personne ne remarquera. Pourtant c’est la dernière étape avant de passer à un autre projet. J’avais conservé le bloc de Jan Patek, c’était le seul bloc en appliqué en vue de réaliser l’étiquette du Moda Blockheads 4. Je lui ai rajouté une bordure pour écrire les indications.

Restaient le binding. Deux doigts endoloris… je couds sans dé, juste une petite pastille adhésive pour protéger. Mais la pastille se perce surtout quand le geste est régulier et répétitif.

Un peu d’acrobatie pour l’accrochage.

 Et voilà mon Blockheads 4. Il faut zoomer sur la photo pour apprécier le fussy cutting des oiseaux et le quilting.

Le groupe Facebook des Moda Blockheads attend la cinquième édition pour la fin d’année.